Résumé : L’œuvre nervalienne se présente telle une rhapsodie de souvenirs et de lectures. Elle se nourrit d’une culture qui emprunte aux mythes de l’humanité autant qu’à des auteurs fraternels, ou travaillés d’inquiétudes communes. Cet essai étudie des réécritures et des dialogues entre imaginaires en écho.