Avertissement

Afin de garantir la lisibilité des renvois aux recueils collectifs du corpus, dont les titres sont souvent semblables, nous rappelons systématiquement en note le titre, éventuellement abrégé, l’éditeur et l’année de publication. La plupart des recueils ayant été publiés à Paris, la ville de publication ne sera indiquée que si elle diffère de la capitale. Pour les recueils faisant partie de séries, c’est-à-dire d’un ensemble de volumes publiés sous le même titre, nous préciserons la place dans la série directement après le titre à l’aide de chiffres romains. De manière générale, nous citons la première édition des différents recueils. Pour renvoyer à des rééditions, nous recourons à des lettres : B pour la deuxième, C pour la troisième édition, etc.

Nous reproduisons l’orthographe et la ponctuation d’origine des textes cités dans des éditions anciennes. Conformément à l’usage, nous avons cependant dissimilé i et j ainsi que u et v. Dans le cas des pièces contenues dans les recueils du corpus, nous distinguons entre le renvoi à une publication imprimée en particulier d’une part, auquel cas nous la citons dans l’orthographe et ponctuation de l’époque, et, de l’autre, le renvoi à une pièce en général, publiée dans plusieurs recueils différents. Étant donné que les différentes manifestations imprimées peuvent différer d’un point de vue orthographique, nous avons procédé, dans ces cas-là, à la modernisation de l’incipit et du ou des titres.

Une grande partie des pièces analysées dans le présent travail sont aujourd’hui peu connues et parfois difficiles d’accès, malgré les nombreuses initiatives de rétronumérisation. C’est pourquoi nous proposerons, parmi les annexes du présent travail, un échantillon des pièces les plus emblématiques de la période analysée. Ces pièces sont signalées par des astérisques dans le corps du texte.

La présente étude est issue d ’ une thèse de doctorat soutenue en 2019. Mes remerciements s ’ adressent ainsi d ’ abord à ma directrice Marie-Gabrielle Lallemand et mon jury, Anne Réach-Ngô, Claude Bourqui, Tony Gheeraert, Guillaume Peureux et Rainer Zaiser. Tant d ’ autres mériteraient d ’ être nommés : un travail de recherche est aussi le résultat de rencontres, il est, à sa manière, un recueil collectif.