Résumé : Les nouvelles de Huysmans aussi bien que les Histoires désobligeantes de Bloy sont traversées par une contradiction : elles prêtent à rire, mais entendent aussi illustrer une idée sérieuse. À la faveur d’une comparaison entre À vau-l’eau, de Huysmans, et « Le Frôleur compatissant », de Bloy, cet article entend mettre au jour la spécificité d’un dispositif thétique qui joue du heurt des registres et de la déstabilisation du lecteur, au service d’une exemplarité paradoxale.