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Classiques Garnier

Table des matières

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Bernard Pingaud et le temps de l’écriture
  • Pages : 389 à 392
  • Collection : Études de littérature des xxe et xxie siècles, n° 83
  • Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
  • EAN : 9782406087281
  • ISBN : 978-2-406-08728-1
  • ISSN : 2260-7498
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-08728-1.p.0389
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 17/07/2019
  • Langue : Français
389

Table des matières

ABRÉVIATIONS     7

INTRODUCTION

Le trajet de la contradiction     9

PREMIÈRE PARTIE

LE « CYCLE CONJUGAL »,
DE LANALYSE À LHYPOTHÈSE

MON BEAU NAVIRE (1946), « UN DE CES RÉCITS DADOLESCENCE »     37

Polyphonie et quête de sens    40

« Jean flottait à la surface de la vie »    43

Le couple comme « solution »    49

LAMOUR TRISTE (1950), ENTRE « DRAME BOURGEOIS »
ET ESSAI SUR LE COUPLE    53

« Drame bourgeois » et « prolongement » philosophique    55

Microcosme et macrocosme    57

« Consentement » et écriture    64

L« écrivant » se découvrant « écrivain »    69

LE PRISONNIER (1958), DE L« ANALYSE » À L« HYPOTHÈSE »     77

« Emprisonné dans labsence »    78

Indécidabilité du péritexte, indifférence du personnage    88

390

Temporalité narrative et après-coup    91

Le motif de l« autrefois »     98

Lémergence de la scène décriture   107

L« expérience » et limpossible   115

DEUXIÈME PARTIE

LE « CYCLE DU PÈRE »,
VERS UN « ROMAN PSYCHANALYTIQUE »

LA SCÈNE PRIMITIVE (1965), LA GENÈSE DE L« INDIFFÉRENT »   129

La « manie de la question »,
lépuisement de l« hypothèse »   132

Des « moments » qui taisent leur nom   136

Lépiphanie du réel et la venue à lécriture   141

La ligne et le cercle   147

LA VOIX DE SON MAÎTRE (1973), « ROMAN PSYCHANALYTIQUE »,
RETOUR AU PÈRE   151

De l« hypothèse » au « roman psychanalytique »    152

« Chemin à frayer », « test projectif »,
« inconscient du texte »   154

Le retour au père   163

La triple scène, le narrateur en analyste   174

La voix et le cercle   183

391

TROISIÈME PARTIE

ROMANS DE LA MATURITÉ,
OU LE CYCLE DE LA « VRAIE VIE »

ADIEU KAFKA (1988), LE DEVENIR-ÉCRIVAIN
ET LHÉRITAGE IMPOSSIBLE   203

La figure de Kafka    203

Une longue genèse   210

« Lexactitude » et « lensemble »   214

Les malentendus de la réception   217

Un roman de lhéritage impossible   219

BARTOLDI LE COMÉDIEN (1996),
LE « FILON SECRET » ET LA « LÉZARDE »   233

La narration et son commentaire   236

Dun usage du matériau autobiographique   238

La « lézarde », la « profondeur cachée », le « filon secret »   243

Retour sur la « vraie vie »   248

AU NOM DU FRÈRE (2002) ET MON ROMAN ET MOI (2003),
LE ROMAN PAR-DELÀ LA THÉORIE   255

Vivre et écrire, relance du motif   256

Lempêchement   265

Lintratexte, ou limpossible totalisation    268

Le désir décrire et le féminin   275

Les deux romanesques et le « miracle »    277

Mon roman et moi : la question du destinataire   281

392

QUATRIÈME PARTIE

LES ROMANS « COMME ÉCLAIRÉS DU DEDANS »,
OU LE CYCLE DE LA RÉTROSPECTION

LHORLOGE DE VERRE (2011)

« Ai-je eu vraiment une vie ? », une question en partage   293

Leffraction de la mort, la crise du sens    295

Identité narrative et « glissement des mots »   300

« Avoir une vie ? »   309

VOUS (2015)

« Être » et « vivre », ou le trajet de ladresse   315

Le trajet de ladresse et le « malentendu »   317

Diptyque féminin et métonymie du désir   325

« Être » et « vivre »    336

Dernières remarques sur lintratextualité   342

CONCLUSION

Les temps de lécriture de Bernard Pingaud   347

ANNEXE

« Réponses de Bernard Pingaud à huit questions
sur son œuvre et sa pratique décrivain » – juillet 2014   357

BIBLIOGRAPHIE    375

INDEX DES PRINCIPAUX NOMS CITÉS   385