Résumé : Cette contribution étudie le livre consacré par Barbey d’Aurevilly au phénomène du bas-bleuisme, dans le but d’en dégager sa conception sexuée des genres littéraires et notamment sa poétique du roman féminin, dont il se plaît à exhiber les faiblesses. Elle montre qu’au fil de ces comptes rendus apparaissent des femmes en mal de publicité, dont l’écriture de l’intime pose la question du bon usage du biographique dans la critique.