Résumé :Ce qui ne meurt pas est le premier et le dernier roman de Barbey. Écrit dans les années 1830, il ne fut publié, avec quelques variations, qu’en 1883. Ce roman à la fois « originel et testamentaire » témoigne de ce qui ne meurt pas dans l’œuvre aurevillienne : le romantisme, noir, frénétique, passionné à l’excès, auquel il fut toujours fidèle malgré sa nostalgie de l’âge classique, son idéal d’impassibilité et d’ironie dandy ou encore ses affinités avec l’imaginaire et le style décadents.