Résumé : « Le bonheur dans le crime » et Une histoire sans nom entretiennent une parenté étroite sur les plans narratif, moral et esthétique. Convoquant des motifs communs à l’élaboration des personnages féminins, les deux textes proposent une morale différente, qui s’élabore cependant dans les deux cas dans une tension constante entre virtualité et réalité. L’esthétique des deux récits brefs s’en trouve infléchie, glissant du diabolique à l’innommé, de l’éclat du scandale au scandale de la résorption.