Résumé : Barbey d’Aurevilly et Jules Janin partagent, dans leur critique dramatique, la nostalgie de la « gaieté presque indispensable » et se mettent en quête du « bel esprit de notre comédie », ou de ses avatars, dans « l’histrionisme » du théâtre contemporain. À travers les différentes formes dégradées de la « moderne comédie », nos feuilletonistes proposent leur définition du « comique vrai » et, tels des modèles à suivre, se livrent à l’exercice de ce comique au cœur même de leur écriture critique.