Résumé : Qu’advient-il à la pensée lorsqu’elle se donne pour une connaissance du temps conjugal ? À quelles (con)torsions cette visée et cette circonstance engagent-elles ? Tel est le problème examiné dans la présente contribution, à propos et à partir de la Physiologie du mariage. Nous y suggérons qu’à la faveur d’un dispositif énonciatif assez baroque, l’analyse tourne à l’anecdote. Scénarisation déterminante, pour Balzac : ce moment « littéraire » de la pensée constitue une matrice essentielle de La Comédie humaine.