Résumé : Cette contribution suit la figure du guerrier à l’oiseau telle qu’elle se décline et se module depuis la Chanson de Gaydon jusqu’à l’album de Johan et Pirlouit, en passant par la Chanson d’Aiol, Tite-Live, Victor Hugo et Paulo Coehlo. Sur l’arc temporel long dessiné par ce corpus, l’oiseau de proie posé sur l’épaule du guerrier joue diversement les rôles de signe électif, de miroir, d’accessoire fonctionnel ou de costume gage de théâtralité.