Résumé : Cette étude est partie des interrogations persistantes sur l’effectivité politique de ce que l’on a appelé « absolutisme », donc du décalage entre le « discours » de la monarchie « absolue » et la faiblesse de ses moyens. Face à la longue domination historiographique d’un courant peu favorable aux « parlementaires », c’est l’analyse détaillée des mémoires de Robert de Saint-Vincent, qui permet une nouvelle mise en perspective des événements qui se sont produits en 1766.