Résumé : La lecture du discours De la servitude volontaire permet de déterminer ce que la culture de La Boétie, en matière de droit mais aussi de philologie, de rhétorique et d’histoire, doit aux pratiques sociales et professionnelles du Parlement. En sens inverse, la connaissance que nous avons des habitus intellectuels des juristes aide à comprendre les formes qu’a prises son œuvre.