Résumé : Le présent article inscrit L’Amour, la fantasia dans l’esthétique rhizomorphe, c’est-à-dire essaie de prouver que la catégorie du rhizome décrit bien les notions-clés de la réalité postcoloniale (l’identité, la langue, l’histoire et la mémoire) ainsi que la structure du roman. En rendant bien la complexité de cette réalité, elle aide, paradoxalement, à s’y retrouver.