Résumé : L’article porte sur la façon dont les éléments essentiels des fragments tardifs (xvie–xviie s.) d’un dialogue en vers gallois entre Melwas et Gwenhwyfar sont interprétés et réécrits, à partir d’une comparaison avec d’autres textes-témoins : témoins d’origine galloise (la Vita latine de Saint Gildas par Caradog de Lancarfan et quelques références dans la poésie des xive–xvie siècles), Lancelot de Chrétien de Troyes et le Lancelot en prose.