Résumé : Ce texte évoque le triptyque que forment Anima motrix, Ma solitude s’appelle Brando et Je suis une aventure comme grand roman de libération et de désapprentissage – nécessaire à une vie dans le présent, d’adhésion au monde. Dans Des châteaux qui brûlent, la question de l’affranchissement sort de la sphère de l’individu pour se poser à la communauté.