Résumé : Les armes et faits d’armes apparaissent très peu dans les prières en français à la fin du Moyen Âge. Même si les exploits des saints guerriers sont reconnus, la vraie couronne de justice et la garde du royaume sont confiées à ceux dont le combat n’est pas contre « la chair et le sang », mais contre les forces du mal par la gloire du martyre, dans la ligne droite des métaphores pauliniennes.