Résumé : La reconstruction détaillée de la mise en scène par Giovanni Cutrufelli du Re Candaule en 1951 est prétexte à une réflexion sur le théâtre gidien, projection de hantises et véritable « laboratoire du désir » de l’auteur, notamment le triangle, filtré à travers ses expériences personnelles. L’imaginaire triangulaire se manifeste dans les pièces de jeunesse et constitue le fil rouge des tentatives d’adaptation théâtrale.