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Classiques Garnier

Les auteurs

  • Type de publication : Article de collectif
  • Collectif : Amnésies françaises à l’époque gaullienne (1958-1981). Littérature, cinéma, presse, politique
  • Pages : 283 à 287
  • Collection : Rencontres, n° 22
  • Série : Littérature des xxe et xxie siècles, n° 2
  • Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
  • EAN : 9782812444111
  • ISBN : 978-2-8124-4411-1
  • ISSN : 2261-1851
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-4411-1.p.0283
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 05/01/2012
  • Langue : Français
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LES AUTEURS

Marc Angenot est professeur à l’université Mc Gill de Montréal. On lui doit de très nombreux ouvrages, parmi lesquels La Parole Pamphlétaire (Payot, 1982), 1889 : Un état du discours social (1989), L’Utopie collectiviste (PUF, 1993) et tout récemment, Dialogues de sourds : Traité de rhétorique antilogique.(2008, Éditions Mille et une Nuits).

Anne-Marie David est doctorante à l’université de Montréal sous la direction de Pierre Popovic et travaille à une thèse sur Les représentations du travail et de la débâcle industrielle dans la littérature française contemporaine (1945-2012). Elle est chercheuse affiliée et membre du comité de coordination du Centre de recherche interuniversitaire en sociocritique des textes (CRIST), dont elle a co-dirigé en 2009 la publication des actes du premier colloque dans la revue Post-Scriptum.ORG. Elle a publié quelques articles sur les auteurs contemporains Antoine Volodine et Irvine Welsh.

Sylvain David est Professeur agrégé au Département d’études françaises de l’université Concordia (Montréal). Il est spécialiste de littérature française du xxe siècle et contemporaine. Il a publié l’essai Cioran. Un héroïsme à rebours aux Presses de l’université de Montréal (2006), et co-dirigé (avec François-Emmanuël Boucher et Janusz Przychodzen) le collectif Que peut la métaphore ? Histoire, savoir et poétique aux éditions de l’Harmattan (2009). Il est membre du Centre de recherche interuniversitaire en sociocritique des textes (CRIST) et du Centre de recherche sur le texte et l’imaginaire FIGURA.

Benoît Denis est chargé de cours au Département de Langues et Littératures romanes de l’université de Liège, où il enseigne l’histoire des littératures française et francophones des xixe et xxe siècles. Il a publié Littérature et Engagement de Pascal à Sartre, au Seuil (2000). Avec Jean-Pierre Bertrand, Michel Biron et Rainier Grutman, il a dirigé une

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Histoire de la littérature belge (2003) chez Fayard et publié avec Jean-Marie Klinkenberg De la littérature belge. Précis d’Histoire sociale (2005). Il est également avec Jacques Dubois l’éditeur de Georges Simenon dans la Bibliothèque de la Pléiade.

Yan Hamel est professeur à la TÉLUQ. Il s’intéresse à la littérature du vingtième siècle, et plus précisément à l’études des mémoires collectives dans le roman. Il a publié en 2006 un ouvrage intitulé La bataille des mémoires. La Seconde Guerre mondiale et le roman français (Presses de l’Université de Montréal, coll. « Socius »). Il a également publié plusieurs articles portant notamment sur la représentation de l’Amérique dans l’œuvre de Jean-Paul Sartre, sur l’œuvre du romancier anglo-montréalais Mordecai Richler et, plus récemment, sur À la recherche du temps perdu.

Djemaa Maazouzi est doctorante au département des littératures de langue française de l’université de Montréal. Son projet de recherche est dirigé par Éric Méchoulan (université de Montréal) et co-dirigé par Benjamin Stora (Inalco, Paris), il porte sur « La fabrication de la mémoire de la Guerre d’Algérie en France dans la littérature et le cinéma ». Elle a publié des articles dans les revues Alternatives francophones, Post-scriptum.org, Palabres, Médiation et information (MEI), Revue des sciences sociales ou encore Études françaises. Elle a aussi contribué à plusieurs ouvrages collectifs. Elle assure actuellement la coordination scientifique du Centre de recherche sur l’intermédialité de l’université de Montréal. Elle est membre du comité de coordination du Centre de recherche interuniversitaire en sociocritique des textes (CRIST) de Montréal.

Gabriel Pascoal Domingos Perugini est diplômé en journalisme à l’université fédérale de Rio de Janeiro et titulaire d’un master de littérature française à l’université Charles-de-Gaulle – Lille 3. Il prépare actuellement une thèse de langue et littérature françaises intitulée Déconstruction et reconstruction chez Michel Butor et Alain Robbe-Grillet : contribution du Nouveau Roman à l’imaginaire social des Trente glorieuses (1946-1975), sous la double direction de Nelly Wolf, de l’université Charles-de-Gaulle – Lille 3, et Claudia Amigo Pino, de l’université de São Paulo. Il est l’auteur d’articles et communications sur le roman

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français du xxe siècle, consacrés à Louis-Ferdinand Céline, Patrick Modiano et Michel Butor.

Pierre Popovic est professeur au département des littératures de langue française de l’université de Montréal. Il a publié de nombreux travaux sur les littératures française et québécoise modernes, parmi lesquels Imaginaire social et « folie littéraire » (Montréal, Presses universitaires de Montréal, 2008) ; Le village québécois d’aujourd’hui (Montréal, Fides, 2001, avec Benoît Melançon) ; Les dérèglements de l’art, Montréal, Presses de l’université de Montréal, 2000, codirecteur avec Érik Vigneault). On lui doit également Le Dzi. Nouvelles (Montréal, Fides, 2009). Ses recherches en cours portent sur la littérature et l’imaginaire social en France (1958-1981), la sociocritique du Tour de France (1903-2010) et les représentations de la ville dans le roman contemporain. Il est cofondateur et membre du CRIST (Centre de recherche interuniversitaire en sociocritique des textes) et de l’ÉDITS (Équipe Discours Imaginaires Textes Sociétés).

François Provenzano est chargé de cours en sciences du langage et rhétorique à l’université de Liège. Il a récemment publié Vies et mort de la francophonie, une politique française de la langue et de la littérature (Bruxelles, Les Impressions nouvelles, 2011) et a dirigé avec Sarah Sindaco l’ouvrage La Fabrique du Français moyen. Productions culturelles et imaginaire social dans la France gaullienne (1958-1981) (Bruxelles, Le Cri, 2009). Il est secrétaire de la revue Signata – Annales des sémiotiques et membre du groupe de travail « Presse magazine » du centre d’histoire de Sciences-Po Paris. Ses recherches actuelles portent sur la rhétorique et la circulation sociale du discours théorique.

Christelle Reggiani est professeur de littérature française à l’université Charles-de-Gaulle – Lille 3. Elle a notamment publié Rhétoriques de la contrainte, Georges Perec, l’Oulipo (Mont-de-Marsan, Éditions interuniversitaires, 1999) ; Éloquence du roman. Rhétorique, littérature et politique aux xixe et xxe siècles (Genève, Droz, 2008) ; L’Éternel et l’éphémère. Temporalités dans l’œuvre de Georges Perec, Amsterdam, Rodopi, 2011).

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Régine Robin est historienne, sociologue, écrivaine, professeure émérite à l’université de Montréal. Elle a publié de très nombreux ouvrages de théories et de fiction parmi lesquels La Québécoite (1983), Le Réalisme socialiste : une esthétique impossible (1987), Berlin chantier (2001), La mémoire saturée (2003), Mégapolis : les derniers pas du flâneur (2009) et son dernier livre : Nous les autres. Difficile pluralisme, qui vient de paraître à Montréal chez Bréal (2011).

Sarah Sindaco est chercheuse au sein du département de langues et littératures romanes de l’université de Liège. Elle prépare actuellement une thèse de sociocritique consacrée au roman français en régime gaullien. Elle a dirigé avec François Provenzano l’ouvrage La Fabrique du Français moyen. Productions culturelles et imaginaire social dans la France gaullienne (1958-1981) (Bruxelles, Le Cri, 2009). Elle est membre, entre autres, du groupe et de la revue COnTEXTES et chercheuse associée au CRIST (Centre de recherche interuniversitaire en sociocritique des textes).

Ela Vălimăreanu est assistante d’anglais à la Faculté des Lettres, Département des Langues Étrangères Spécialisées de l’Université Babes-Bolyai, Cluj, Roumanie. Elle prépare actuellement une thèse en littérature française sur Fiches-cuisine d’une écriture. Le thème du repas, points de rencontres esthétiques dans la recette de l’œuvre perecquienne. Directrice du projet de recherche Significations du repas et de la gastronomie en tant qu’éléments de socialisation et d’affirmation identitaire. Implications multiculturelles, elle a dirigé le recueil collectif Plaisirs de la table. Mises en récit de la nourriture et autres délices. Études sur le thème alimentaire (2010). Organisatrice des colloques nationaux sur la didactique des langues, elle exerce aussi une activité de traductrice et a publié des articles sur divers écrivains français, notamment Georges Perec, Raymond Queneau, Gilles Leroy, Jean Rouaud, et Pascale Roze ainsi qu’un ouvrage sur la poésie baroque, Dire l’émotion spirituelle : esquisses d’un Baroque blanc et noir. (Éditions Universitaires Européennes, 2010). Boursière de l’AUF et de la Confédération suisse, elle compte à son actif de nombreuses participations aux colloques nationaux et internationaux.

Dominique Viart est membre de l’Institut universitaire de France et professeur de littérature française à l’université Charles-de-Gaulle – Lille 3,

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où il co-dirige la Revue des Sciences humaines. Il a publié notamment des essais sur Claude Simon (Une Mémoire inquiète, PUF, 1997) ; Pierre Michon (Gallimard 2004) ; François Bon (Bordas, 2008). On lui doit également, avec Bruno Vercier, La littérature française au présent (Bordas, 2005, rééd. augmentée 2008). Plusieurs ouvrages collectifs ont récemment paru sous sa direction, entre autres : Littérature et sociologie (avec D. Rabaté et P. Baudorre, PU de Bordeaux, 2007) ; Écritures blanches (avec D. Rabaté, PU de Saint-Étienne, 2009) et Nouvelles écritures littéraires de l’histoire (Minard, 2009).

Nelly Wolf est professeur de littérature française à l’université Charles-de-Gaulle – Lille 3. Elle a publié trois ouvrages : Le peuple dans le roman français de Zola à Céline (PUF, 1990) ; Une littérature sans histoire. Essai sur le Nouveau Roman (Droz, 1995) ; Le roman de la démocratie (Presses Universitaires de Vincennes, 2003), et de nombreux articles. Elle est également membre du comité de rédaction des Cahiers d’histoire et de littérature romanes/Romanistische Zeitschrift für Literaturgeschichte. Ses travaux actuels portent sur les enjeux sociaux des styles littéraires.