Résumé : Comme pour la photographie, dont l’image – perdue incompréhensiblement – montre un temps figé dans l’immensité d’un désert, les mots se perdent une fois écrits. Les histoires (d’amour) finissent toujours mal, chantent les Rita Mitsouko. En général, la poésie vit dans un monde éphémère, elle finit donc par être éternelle, ce qui la rend énigmatique, et magnifique.