Résumé : Chez Thoreau, la capacité d’empathie et le sentiment de sympathie envers les voisins animaux se constituent lors de ses observations naturalistes. Le développement de sa sensibilité l’amène à éprouver de la compassion pour les autres-animaux et à tenter de l’inscrire dans ses actes en cessant de pêcher, de chasser de prélever des spécimens zoologiques et de consommer de la chair animale. Cependant, l’auteur doit faire face à de nombreuses tensions et dilemmes.