Résumé : À partir du roman L’Étreinte d’Adrien Genoudet, dont la narration et l’univers diégétique se voient enrichis d’une série de matériaux visuels, il s’agit de se pencher sur le rejeu du rapport commun au voir et au dire que le livre propose, d’analyser comment il permet de le renverser. Est mise en avant la manière dont l’œuvre investit singulièrement le rapport texte-image et remet ainsi en marche, au travers d’une éthique relationnelle, le régime autant imagier que langagier.