Résumé : Fragments versifiés et réminiscences de vers mesurés forment le tressage d’élégies survivantes d’un espace intérieur où l’esprit ne fut jamais confiné. Le jardin du monde a recueilli les éclats dispersés du poème multiple, qui ne cache pas un désir de cohérence pour retrouver la voix des saisons, l’or du temps passé, la fraternité simple ou l’accueil entier d’une vocation : est élégiaque aussi bien ce qui a pu avoir lieu que ce qui est resté en suspens, en attente d’accomplissement.