Résumé : C’est à la mort de son père que ce poème est survenu à l’auteur, puis elle n’a cessé d’y revenir. Les titres des trois parties sont repris de la construction de la Cosmographie du philosophe médiéval Bernard Silvestre, auxquels sont associés des sous-titres liés pour l’intime : à la vie, la maladie et la mort, pour le général : à la nature, aux astres et à l’esprit. Seule la poésie traduit ce qui nous dépasse et qu’on ignore, ce qu’on ne voit qu’en profondeur comme en-deçà du savoir partagé.
