Résumé : Ce texte esquisse les relations entre la notion de ressemblance et celle, freudienne, d’inquiétante étrangeté. Les ressemblances, qui surgissent depuis ce mouvement psychique, sont animées d’un rythme particulier : entre le double trop conforme et la matière trop informe, entre la répétition et la différence, cela signifie que les ressemblances ainsi « animées » font lever du temps psychique dans les images. On peut alors passer de Freud à Walter Benjamin et à sa « théorie de la ressemblance ».