Résumé : Le moi valéryen est une simple condition de connaissance qui sert à assurer l’unité de la conscience. Vide et inconnaissable, il est presque identique au sujet transcendantal de Kant. Sous l’impulsion de son penchant nihiliste, Valéry renie cette influence et finit par détruire l’unité de son moi en effectuant de multiples divisions.