Résumé : Nuit d’horreur, celle où la Turquie a décidé d’entreprendre le génocide des Arméniens et d’étendre l’ombre du déni pour l’humanité entière. Le poème révèle la voix qui cherchait à rester cachée jusqu’à ce jour et à poursuivre son crime. Mais la nuit de grâce est plus forte que l’horreur ; le chemin de croix précède la résurrection pascale, lieu d’épanouissement de la justice dans toutes ses dimensions, et dont le poème cherche à faire entendre la voix souveraine.