Résumé : Ce texte d’ouverture prend la forme d’un entretien à deux voix anonymes qui essaient de discerner des éléments de définition de l’horrible ; tâche ardue dans la mesure où l’objet à définir est précisément ce qui cherche à broyer toute tentative de mise en parole. Cet innommable, qui va même jusqu’à se situer au-delà du représentable, sera peu à peu cerné dans ses manifestations polymorphes, suivant une courbe qui aboutit à un seuil au-delà duquel l’indicible devient dévoilement.