Résumé : Pour illustrer la valeur du mythe de l'être dans la texture de l’imaginaire poétique d’Eminescu, on s’arrête sur le chef d’œuvre d’Eminescu, le poème Luceafărul (L’Étoile du matin). Ce poème se prête à plusieurs lectures dans la perspective de l’anthropologie de l’Imaginaire, car la symbolique de l’être est de nature déiste en dépit des références poétiques qui ne renvoient pas à la Révélation, mais aux traits communs.