Résumé : Quand quelqu’un nous propose un paradoxe, l’esprit est comme saisi d’une présomption du non contradictoire. Le paradoxe sert-il simplement à souligner les ridicules du misanthrope ou à caractériser les personnages à la scène ? Suffit-il de dire l’inverse de ce que clame la doxa pour faire un paradoxe ? Comment interpréter, dans quel sens lire le mécanisme du paradoxe anthropologique du misanthrope ?