Résumé : Éros devient incontournable dans le siècle de la « volupté », ancré tour à tour dans la rationalisation des philosophes ou dans la féerie persistante d’un genre encore considéré comme frivole : le conte. Véhicule à la fois des idéaux en phase et en marge des Lumières, il révèle chez Crébillon fils la potentialité expérimentale de la littérature.