Résumé : Valéry ne voyait dans les Pensées de Pascal qu’ « armes, poisons et stupéfiants ». Ce jugement met en relief une violence des Pensées qui, une fois perçue, ne cesse d’interroger. Si la foi est gracieusement donnée par Dieu, comme le veut Pascal, comment comprendre sa démarche apologétique et la violence qui la caractérise ?