Résumé : La parole est du dehors. A contrario, le monologue intérieur, en ce qu’il est l’émanation de la vie du dedans et en dedans, est l’expression du silence. Mais cette dénomination convient-elle encore à ces mouvements subtils et insaisissables que l’on trouve dans Tropismes et dans l’œuvre de Sarraute en général ?