Résumé : L’œuvre déconcertante procède du silence. Elle puise sa puissance au lieu de son origine muette. L’artiste ramène du monde à l’écart, des bribes, des traces à peine audibles, à peine visibles, qui au-delà du langage commun, « travaillent » l’œuvre. Sans silence conservé, l’œuvre ne peut nous transmettre la part du mystère qui surgit quand l’homme observe le monde.