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Classiques Garnier

Table chronologique des incipit

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Album de poésies
  • Pages : 595 à 603
  • Collection : Textes de la Renaissance, n° 158
  • Série : Scriptorium, n° 1
  • Thème CLIL : 3439 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques -- Moderne (<1799)
  • EAN : 9782812443985
  • ISBN : 978-2-8124-4398-5
  • ISSN : 2105-2360
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-4398-5.p.0595
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 15/04/2010
  • Langue : Français
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TABLE CHRONOLOGIQUE DES INCIPIT



I. Ceste belle princesse, ornement de nostre âge
II. De quel genre de mort punirez vous, ô dieux (Bussy)
III. Cellui qui oza mettre une Reine en destresse
IV. Pour la legereté Vuide de tout ennuy qui tenaille les coeurs ») (Rivason)
V. De l'essence d'amour (« De contrarietés s'engendre toute chose ») (Rivason)
VI. Ode de la Main (« Un autre rebruira les armes ») (Rivason)
VII. La seconde epitre d'Ovide. Phillis à Demophon (M. de L'Aubespine, Villeroy)
VIII. Quel martire assez fort, quelle chene inconnue (Desportes)
IX. Amour puis qu'il est vray que tu pers ta puissance
X. Mon oeil des fontaines distille
XI. Presage du mois de janvier («Amour l'archer victorieux »)
XII. De l'absence («Toute la cruauté, l'amertume, le fiel»)
XIII. Elegie Parlant de vous il faut que je m'essaye ») (Aubigné)
XIV. Discours («Rigoureux point d'honneur... ») (Desportes)*
XV. Non ce ne fut jamais, pardonnez moy, Madame (Certon)
XVI. J'aime ce qui se peut, mals las !celle que j'aime (Certon)
XVII. J'avoy ces jours juré de n'entrer de huict jours (Certon)
XVIII. Inhumaine, cruelle et malheureuse absence (Certon)
XIX. Qui ayme comme il fault une beauté divine (Centon)
XX. Beauté fille du ciel, Princesse de mon ame (Centon)
XXI. Du soleil tout voyant la journelle carriere (Desportes)
XXII. Miserables François sçauriez vous jamais dire (Desportes)
XXIII. Que nous sert, Apolon, que ta perruque blonde (Desportes)
XXIV. Maistresse, or que les ans et les jours soient muables
XXV. Amour si ton palais est là hault dans les Cieux
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XXVI. Bien que mon palals soit la vouture des Cieux
XXVII. L'ours qui fier brigandoit la frontiere eternelle (Du Bartas)
XXVIII. Quel artifice as tu, quelle façon nouvelle
XXIX. Quand je voy par des vers louanger les couleurs
XXX. Si mes vers mal polis estoient de tel merite
XXXI. Celluy qui vers le ciel dresse trop curieux
XXXII. Au coqu des boys (« Coqu ne vas troublant de ton villain ramage »)
XXXIII. Puis qu'en l'amour gist la foelicité
XXXIV. Le Prince doibt tousjours ses subjects bien aymer
XXXV. Qu'on m'arrache le cueur, qu'on me face endurer (Desportes)
XXXVI. En moy seul la douleur au tans faict resistance (Desportes)
XXXVII. Chere et chaste Déesse, honneur de ces bas lieux (Desportes)
XXXXVIII. O Foy ! qui dans mon ame as choisi ta retraite (Desportes)
XXXIX. Le jour malencontreux que mon ame peu sage (Desportes)
XL. Chercher despuis trois jours à vivre en solitude (Desportes)
XLI. Vous n'estes point mes yeux, ô trompeuse lumiere (Desportes)
XLII. Déesse aux cheveux d'or, j'offre à ta Magesté
XLIII. O Ciel qui repandis et l'esprit et la grace
XLIV. Je me pers embarqué sus l'esperance valne
XLV. A Monsieur («Grand Duc, second apuy de l'empire de France») (Philippes de Commines ?)
XLVI. Le Phoenix que l'Egipte en ses terres halées
XLVII. Je ne m'esbahis pas de ce qu'un beau visage
XLVIII. Pressé d'ennuis, affligé de douleurs
XLIX. Tout ce qu'on voit de salnct, de luisant et de grace
L. Pour s'estre veu dans l'eau Narcisse s'est deffalct
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LI. Soient unis desormals par l'eternel lyen
LII. Celuy qui sans mourir habandonne sa dame
LIII. Mon destin m'a causé deux cruelz ennemis
LIV. Chasque fois que ma memoire
LU Preceptes (« Ne t' esbahis de trouver inconstance »)
LUI. Si tu vois d'autant plus allumer mon ardeur (Constans)
LVII. Chanson (« Pourquoy d'une pillarde maln ») (P. de Brach)
LVIII. O vous pleins de pitié, plaignez, pleurez ma perte (Aubigné)
LIX. De ma douce prison (Aubigné)
LX. Vous fleuves et vous rochers, vous antres effroyables (Aubigné)
LXI. Ha tueur infortuné !pauvre tueur miserable (Aubigné)
LXII. Angoisseuses langueurs qui cherchez ma ruyne (Constans ?)
LXIII. Vertes forestz, verds prez, verds monts et vertes pleines (Aubigné)
LXIV. Dialogue: le tueur, les yeux A que n'est-il permis aux ruisseaux de mes pleurs ») (Aubigné)
LXV. Dialogue (« Nimphes qui des coulantes eaux ») (Aubigné)
LXVI. Helas ! c'est à ce coup, inhumaine meurtriere
LXVII. Amans qui souspirez tant de peines souffertes (B. Jamyn)
LXVIII. Sur un mirthe planté aupres d'un tumbeau (« Ce beau mir- the j'ay planté») (J.Passerat)
LXIX. Dialogue (« Pourquoy Beauté tant inhumaine »)
LXX. Arrestez vous icy, arrestez vous cher fleuve
LXXI. Las ! pourquoy ay je ma vye
LXXII. Chantez, Apolline, chantez
LXXIII. Pleurez, o Demons pitoyables
LXXIV. Quelle chose icy bas
LXXV. Vous qui de douces voluptez
LXXVI. Que ma vie aujourd'huy s'ecoule de mes pleurs
LXXVII. Panser amoureux du cilanse (L'Evangeliste/F. d'Espinay)
LXXVIII. Ceste noire nuict si tenebreuse (Aubigné)
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LXXIX. Où va cest enchesné avec son brave port (Aubigné)
LXXX. À l'esclair viollant de ta face divine (Aubigné)
LXXXI. En voyant vostre beau pourquoy n'ay je pas veu (Aubigné)
LXXXII. Gay à bons fretillans capprioller je veux (Aubigné)
LXXXIII. Ha ! je me rends, je me rends (Aubigné)
LXXXIV. Pleurez avec moy, tendres fleurs (Aubigné)
LXXXV. Bonjour, petit enfant (Aubigné)
LXXXVI. Mignonne, pourquoy donnes tu (Aubigné)
LXXXVII. Quiconque sur les os des tombeaux effroyables (Aubigné)
LXXXVIII. Le soldat valeureux dont la chaude jeunesse (Aubigné ?)
LXXXIX. Lors que le soleil rend à ce peuple la veue (Aubigné ?)
XC. Madame, les guerriers qui courent la fortune
XCI. Ces monts sont si hautains qu'ilz n'ont point de semblables
XCII. Quand par les creux rochers et les bois plus espais
XCIII. S'il est vray que les ames belles
XCIV. Helas !beaux yeux, je pensois vous fuyant (Constans)
XCV. L'amour pour soy mesures/Filastie Dieu qui est tout divin... ») (Monteil)
XCVI. Sctanses de l'absance Amans qui gemissez au fais de ... ») (Constan)
XCVII. Me fault il tant souffrir (Aubigné)
XCVIII. Ce clair flambeau illuminant mes yeux (Aubigné)
XCIX. O belle main, unique en sa beauté
C. Si je suis pres de vous, ô ma belle maistresse
CI. Vous n'aurez point d'honneur d'avoir raison de moy
CII. Quel plaisir prenez vous de me voir expirer
CIII. Si je meurs pres de vous, ne le trouvez estrange
CIV. Je ne m'en soucirois si j'avois esperance
CV. Mais qu'esse que je dis ?C'est trop vous offencer
CVI. Ce n'est pas sans raison, ô ma belle bergere
CVII. Si je n'estois à vous, je n'aurois pas le cueur
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CVIII. O Seigneur tout puissant dont l'amour infinie
CIX. Las !Seigneur, si je viens pecheur remply de vice
CX. Seigneur, Seigneur j'invocque ton sainct nom
CXI. De ces montz perruquiers les tristes precipices (Certon)
CXII. La perruque du mont que j'aime et que j'honore (Certon)
CXIII. Le torrant de la voix que je veux admirer (Certon)
CXIV. Helas !rudes glaçons dont la froideur extreme (Certon)
CXV. Le loyer le plus beau dont mon loyal service (Certon)
CXVI. Il ne sçalt pas punir, cest injuste blesseur (Certon)
CXVII. Je ne peu larmoyer, tresmoings m'en sont ces bois (Certon)
CXVIII. Je ne le vouloy pas, j'en jure par l'ivoire (Certon)
CXIX. Je vous confesse tout, las ! j'ay abandonné (Certon)
CXX. Helas ! je ne tien point ces rochers effroyables (Certon)
CXXI. Ces rochers ne sont miens, moins veux je tant priser (Certon)
CXXII. Je suis comme le bois qui faict que tousjours dure (Certon)
CXXIII. Puisse, si je n'ay mieux, sur mon chef arriver (Certon)
CXXIV. Doncques l'hiver venteux et la neige et la glace (Certon)
CXXV. Voz yeux sont voirement les plus vifves flamesches (Certon)
CXXVI. Requeste à Messieurs des Grans Jours (« Un pauvre ser- viteur ») (Aubigné)
CXXVII. Memoire à d'Amboise advocat Memoire d'intenter proces ») (Aubigné)
CXXVIII. D'Amboise, nous t'avons esleu pour le secours (A. de Cottel)
CXXIX. Vous qui ne resentez en lame
CXXX. D'une Chesne d'amour l'amour me tient pris (Aubigné) CXXI. L'Hermitage («Tous ceulx qui ont gousté... ») (Aubigné)
CXXXII. À longs filetz de sang, ce miserable cors (Aubigné)
CXXXIII. Cessez noires fureurs, Ærynes inhumaines (Aubigné)
CXXXIV. Ha miserable amant, miserable malstresse (Aubigné)
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CXXXV. O mes yeux abusez, esperance perdue (Aubigné)
CXXXVI. J'ouvre mon estommach, une tumbe sanglante (Aubigné)
CXXXVII. Puis que le corps blessé, mollement estendu (Aubigné)
CXXXVIII. Pressé de desespoir, mes yeux flambans je dresse (Aubigné)
CXXXIX. Liberté douce et gratieuse (Aubigné)
CXL. Le miel sucré de vostre grace (Aubigné)
CXLI. Ha déesse, que de martire (Aubigné)
CXLII. Encor le ciel cruel à mon dernier secours (Aubigné)
CXLIII. L'horreur froide qui m'espouvente (Aubigné)
CXLIV. Autant de fois comme j'essaie (Aubigné) CXLU L'astre qui reçoit sa lumiere (Aubigné)
CXLVI. La preuve d'un amour non feinte (Aubigné)
CXLVII. Soit martire en aimant (Aubigné)
CXLVIII. Heureux qui meurt par vostre veue (Aubigné)
CXLIX. Ainsi l'amour et la fortune (Aubigné)
CL. Pour te suivre, obstiné, je t'adnime à la fuitte (Aubigné)
CLI. Soubz la tremblante courtine (Aubigné)
CLII. Et bien, je suis content de vivre (Aubigné)
CLIII. Tristes amans venez ouyr (Aubigné)
CLIV. J'implore contre toy la vengeance des dieux (Aubigné) CLU Sus mes vers bien aimez, que voz justes douleurs (Aubigné)
CLVI. Les caresses pour le flateur (Aubigné)
CLVII. Debout filles, qu'on s' apreste (Aubigné)
CLVIII. Citadines des tuons de Phocis, aportez (Aubigné)
CLIX. L' aer ne peut plus avoir de vens (Aubigné)
CLX. Ores es tu contente, ô nature meurtriere (Aubigné)
CLXI. Non non, je veux vivre autant (Aubigné)
CLXII. Tes yeux vaincueurs et languissans (Aubigné)
CLXIII. Vous dictes que je suis muable (Aubigné)
CLXIV. De l'inconstance («Qui vit jamais sauter... ») (Aubigné)
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CLXV. Je veux prendre aux cheveux la fortune et le sort (Aubigné)
CLXVI. Bruslé d'un chaste feu, martir d'un beau martire (Aubigné)
CLXVII. Mesurez des haultz Cieux tant de bizarres courses
(Aubigné)
CLXVIII.Ô bien heureux espritz qui printes vostre vie (Aubigné)
CLXIX. À ce bois, ses prez et cest antre (Aubigné)
CLXX. D'une ame toute pareille (Aubigné)
CLXXI. J'ay le sang escumeux attalnt (Aubigné)
CLXXII. Vous souhalttez un heur imaginaire (Aubigné)
CLXXIII. Non, je n'aime pas le pesant (Aubigné)
CLXXIV. Celuy là qui a congneue (Aubigné)
CLXXV. Que me sert, cruellement belle (Aubigné)
CLXXVI. Je vous ay dict que les chaleurs (Aubigné)
CLXXVII. La douce, agreable Cybelle (Aubigné)
CLXXVIII. Premier que d'aborder les Cieux (Aubigné)
CLXXIX. Que de douceurs d'une douleur (Aubigné)
CLXXX. Ce chempis, je ne sçay comment (Aubigné)
CLXXXI. Ô spectacles hideux (Aubigné)
CLXXXII. Veux tu que je sacrifie (Aubigné)
CLXXXIII. Ce sont petitz amours avortez de mes peines (Aubigné)
CLXXXIV. Cedres, qui esmalllez tout l'air de voz fueillages (Aubigné)
CLXXXV. Ce n'est pas la musette ou le luth que j'accorde (Aubigné)
CLXXXVI. C'est peu d'honneur pour moy que de lalsser la vie (Salignac)
CLXXXVII. Quel forcené torment s'alume en ma poictrine (Salignac)
CLXXXVIII. Tous mes pensers sont enclos dans les deus (Salignac)
CLXXXIX. Elegie (« Si c'est temerité d'aymer une déesse »)
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CXC. Elegie («Seront donc eternels les amoureus ennuis »)
CXCI. Stances («Que me reservez-vous, astres qui luisez ») (Jamyn)
CXCII. Celuy qui nous fait venir les alleures des Cieux
CXCIII. D'un tel lien le frere de Bellonne
CXCIV. Si je n'ayme rien tant comme j'ayme tes yeux
CXCV. Stances (« Je ne sçay pas comment ces flammes ordinaires »)
CXCVI. Amans, qui sous la loy d'une ingrate maistresse (L'Evangeliste/F. d'Espinay)
CXCVII. Ode (« Je ne sçai point parle ciseau »)
CXCVIII. C'est trop vescu, il faut finir ma vie
CIC. Stances (« Quand je voy ces montz sourcilleux ») (Aubigné)
CC. Elegie («Puis que la vive ardeur du feu qui me poursuit ») (L'Evangeliste/F. d'Espinay)
CCI. Elegie funebre Mon ame, puis qu'il fault cruellement mourir »)
CCII. Stances («L'aigle d'un beau desir m'emporte oultre les cieux »)
CCIII. Chanson («Pauvre coeur, que d'ennuis, que de dueil, que de peine »)
CCIV. Bel oeil, puis que tu es le soleil de mon ame
CCV. Malheureuse prison où je traîne ma vye
CCVI. Agreable prison, le tableau de mes yeux
CCVII. Stances L'amour qui n'est qu'amour, qui vit sans esperance »)
CCVIII. Stances des Baings Que mon mal malheureux mal et... ») (Constans)
CCIX. Les mariniers escument nuictz et jours
CCX. Je me tiens sy heureux en la captivité
CCXI. Ce n'est pas sans raison, malicieux enfant
CCXII. Prince, de qui le nom m'est venerable et sainct (Ronsard)
CCXIII. Le dix est tout parfaict: les philosophes ont (Rivason)
CCXIV. J'aime de mon amour l'impatient desir
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CCXV. Or ce tiran cruel doict avoir asouvi
CCXVI. Dialogue («Sur le point que la nuict... ») (Pibrac)
CCXVII. Bussi dont la vertu surmontoict le malheur (A. Maschefer)
CCXVIII. Bussi est prest de toy', arreste icy tes bas