Résumé : La fermeture des églises durant la Révolution eut pour conséquence la destruction des fonds musicaux de ces institutions, notamment dans les provinces du Sud-Ouest. Les archives témoignent pourtant de la vivacité de la création musicale, révélant les noms de maîtres de musique, dont on vante les mérites au-delà de la région. Simples noms, muets. Quelques très rares œuvres sont parvenues jusqu’à nous, audacieux dans l’écriture musicale et dans la recherche d’une nouvelle expressivité.