Résumé : À propos du cas d’Isabelle de Charrière, cet article réfléchit sur la possibilité et l’opportunité de considérer comme « féminins » certains des topoï narratifs étudiés dans le cadre de la SATOR, et le danger de ne plus reconnaître, dans ce cas-là, l’apport spécifique des romancières individuelles.