Résumé : Kourouma voulait se faire une chambre où il serait chez lui dans la grande maison qu’est la langue de Molière. Mais il n’habite pas la littérature française. On l’a casé à la cote 846 qui est celle de la littérature francophone africaine… la plupart du temps engagée. Or, il y a chez Kourouma un véritable souci de poésie. Ainsi, Kourouma pourra-t-il un jour appartenir à la littérature française sans précision restrictive supplémentaire ?