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Classiques Garnier

Pouvoir de la parole et parole de pouvoir au féminin chez Nicole Cage-Florentiny « Les fous ne sont pas ceux que l’on croit »

  • Type de publication : Article de collectif
  • Collectif : Africana. Figures de femmes et formes de pouvoir
  • Auteur : Herzog-Novoa (Amandine)
  • Résumé : Dans le roman C’est vole que je vole de N. Cage-Florentiny, trois stratégies déconstruisent des stéréotypes féminins et dénoncent le patriarcat : d’abord le pouvoir de la parole en tant que vecteur contestataire, perceptible autant par des allégories que le trouble mental de Malaïka, puis le processus métanarratif qui traverse le récit. Celui-ci incarne, selon nous, la catharsis de la narratrice malade, grâce au procédé d’écriture dévoilé au lecteur, troisième stratégie à l’œuvre.
  • Pages : 429 à 445
  • Collection : Rencontres, n° 539
  • Série : Francophonies, n° 2
  • Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
  • EAN : 9782406127352
  • ISBN : 978-2-406-12735-2
  • ISSN : 2261-1851
  • DOI : 10.48611/isbn.978-2-406-12735-2.p.0429
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 18/05/2022
  • Langue : Français
  • Mots-clés : Nicole Cage-Florentiny, Martinique, maladie mentale, stéréotypes, contestation