Résumé : L’adoption de la pierre et de la brique dans les villes des anciens Pays-Bas est généralement appréhendée par le biais des sources normatives. Le processus y apparaît relativement imprécis, masquant la spécificité des quartiers et les éventuels mécanismes à l’œuvre au niveau des parcelles. Cette contribution, nourrie d’un regard croisé entre l’histoire et l’archéologie, propose une approche renouvelée en s’intéressant précisément à la géographie urbaine et au fonctionnement des parcelles.