Résumé : Le concept d’exceptionnalité qui fonde le canon artistique renvoie à une vision normative des rapports sociaux et ne permet pas d’expliquer les parcours des femmes artistes. L’analyse des trajectoires artistiques féminines durant le Second Empire permet de réinscrire Marcello dans son temps et dans une histoire collective où les contorsions identitaires forment non une exception, mais une stratégie de légitimation souvent nécessaire.