Résumé : Cet article montre qu’Adèle d’Affry s’appuie dans ses nouvelles de jeunesse sur une écriture modelée par les influences du siècle précédent, siècle qui a pourtant tué son roi et la foi (ce qui devait déplaire à l’aristocrate qu’elle était). Mais le tropisme pour le siècle où régna le « système du libertinage », mis au service d’une condamnation morale des vices de la société du paraître, ne pouvait par ailleurs que plaire à l’artiste qu’elle était aussi.