Résumé : La joie fait-elle vraiment défaut à l’univers d’À rebours ? Au-delà de l’euphorie, les transports goûtés par des Esseintes visent à une joie faite de plénitude. Or, si les succédanés mondains en sont nombreux, il convient au personnage de la dénicher en des espaces délaissés par l’écriture naturaliste : astres, attitude contemplative, hypersensibilité à l’œuvre d’art, manifestent une forme de joie accessible à des Esseintes. Partant, le roman n’est-il pas de nature à réenchanter tout lecteur ?