Résumé : La journaliste et romancière Matilde Serao découvre À rebours en août 1884, trois mois après la publication du livre. Curieuse envers l’actualité littéraire française mais avant tout soucieuse de préserver les valeurs de la petite-bourgeoisie, elle manifeste une profonde aversion à l’égard du roman. Dans le cadre de l’étude sur la fortune d’À rebours en Italie, son attitude semble déterminante pour comprendre un certain manque d’intérêt voire une hostilité que l’ouvrage suscita dans les milieux culturels romains.