Résumé : L’aspect sans doute le plus énigmatique de cette traduction est pour quel motif le chancelier la réalisa. Sa littéralité explique que les critiques ne s’y soient pas intéressés. Elle est mentionnée comme un appendice de la production de Pero López de Ayala. Une lecture attentive, une comparaison avec la version latine de la Bible et la traduction du Livre de Job des Morales de Saint Grégoire peuvent éclairer sous un nouveau jour le sens et l’interprétation qu’Ayala donna à ce texte biblique.