Résumé : La cadenza de l’Et incarnatus de Mozart peut être mise en relation avec deux arie d’opéra, de composition antérieure, par le biais d’un motif musical commun aux trois morceaux. Les glissements de signification opérant d’un morceau à l’autre permettent d’analyser le sentiment du sublime que suscite la messe, dans le cadre paradoxal d’une aria concertante tendant à la miniature ornementale.