Résumé : L’article formalise une distinction entre les notions de mise en valeur, d’un côté, et d’ornement ou interprétation de l’autre, qui met au jour le fil de la poétique néoclassique du sublime dont Gellert est l’héritier. Elle permet de comprendre pourquoi Doles et Carl Philipp Emanuel Bach ont pu adopter des approches si différentes dans la présentation des sujets religieux sublimes de la poésie de Gellert.