Résumé : La notion de sublime est-elle opérante pour la peinture religieuse du xviie siècle, alors qu’elle n’apparaît explicitement qu’à la fin du siècle dans les écrits de Roger de Piles ? Les grands mays de Notre-Dame de Paris, qui sont des tableaux de dévotion offerts de 1630 à 1707 par une des confréries d’orfèvres, permettent de creuser cette question.