Résumé : Dans les ponts-neufs, composés à partir de textes bibliques et surtout des Psaumes, les deux langages, musical et verbal, sont là pour mettre en valeur le sublime divin, qui se loge dans le silence de la rhétorique et les dissonances sémiotiques. Loin de signifier une désacralisation, ils signalent la dimension non rhétorique du sublime, qu’ils situent dans l’orbite divine.