Résumé : L’article se penche sur les rapports problématiques du sublime théologique et du sublime esthétique des cérémonies de la messe. Le statut des cérémonies oscille entre sacralisation et démystification et, bien que le concile de Trente considère qu’elles sont capables d’« élever » vers le divin, elles tiennent plutôt d’une propédeutique qu’elles ne relèvent du sublime longinien.