Résumé : Le sublime constitue un intéressant fil conducteur pour comprendre l’histoire du sentiment religieux dans l’architecture des églises françaises de la seconde moitié du xviiie siècle. Les architectes y ont vu un moyen d’exprimer plus librement la transcendance, en passant outre les nécessités du figuralisme chrétien pour s’orienter vers un sacré ouvert, autorisant les évolutions de la période révolutionnaire.